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Après les avoir souverainement appréciés, sans les dénaturer, le Conseil supérieur de la magistrature n'a pas donné aux faits une inexacte qualification juridique, ni entaché sa décision d'erreur de droit, en estimant qu'ils étaient constitutifs de violations, par M. X, des obligations de son état de magistrat et de son devoir de dignité, d'honneur, de réserve, de délicatesse, de loyauté à l'endroit des chefs de cour, de prudence, et qu'ils portaient atteinte à l'image de la justice et à son crédit, et étaient, par suite, de nature à justifier une sanction disciplinaire