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Réticence d’un juge d’instruction à l’égard du contrôle de son cabinet par le président de la chambre de l’instruction. Défaut de traitement de dossiers ouverts sur constitution de partie civile. Retards dans la rédaction de décisions pénales et la signature des minutes. Transmission à sa hiérarchie d’un courrier mettant délibérément en cause l’honnêteté professionnelle et la loyauté de son premier président, ainsi que l’honneur du président de la chambre de l’instruction. Propos indélicats tenus devant témoins tenus à l’encontre de deux gendarmes